Valérie Belot
hypnothérapeute et coach à bréal sous montfort

Passionnée par l’humain, sa complexité et sa richesse, j’ai fait de mon appétence un métier que j’aime et qui me procure une satisfaction au quotidien.

Accompagner les femmes dans leur épanouissement et leurs performances à toujours été une grande part de ma vie professionnelle. Aujourd’hui, je le fais dans sa dimension la plus profonde, au cœur de l’individu, pour aider et accompagner toutes celles qui font le choix de vivre enfin la vie qu’elles méritent.

Pourquoi me consulter ?

manque de confiance en soi phobies manque d'estime de soi compulsions alimentaires peurs angoisses

Ma formation

Formation hypnose Ericksonnienne Institut France Hypnose / PARIS

Formation Coach PNL Programmation Neuro Linguistique Institut France PNL / PARIS

Un peu de moi…

Aujourd’hui, je suis une femme passionnée, engagée, libre. Mais pour en arriver là, il m’a fallu traverser quelques tempêtes intérieures. Tempêtes au cours desquelles j’ai compris une chose essentielle : je ne suis pas faite pour rentrer dans un moule.

Pas parce que je n’y arrivais pas, mais parce que ce moule… il n’avait pas été fait pour moi.

Alors j’ai fini par le casser, et j’en ai façonné un à ma mesure. Un moule asymétrique, coloré, un peu bancal parfois, mais 100 % moi. Dès petite, je me suis sentie différente et à cet-âge ce n’est pas cool ni poétique. C’est juste lourd et inconfortable.

Dans ma famille d’abord, 2ème d’une fratrie de 3, j’avais ce fameux syndrome du milieu. J’essayais de trouver ma place. Pas la première à qui on confie tout, pas le petit dernier qu’on couve. J’étais celle entre les deux, un peu floue.

J’étais une chanson de Beyoncé dans un dîner de famille classique : trop de volume, trop de flow, alors que je voulais juste qu’on m’écoute un peu. Progressivement, je me suis imaginée que quelque chose clochait chez moi, que je n’étais pas “normale”.

Même à l’école, j’étais 1ère de la classe, et pourtant j’avais le sentiment que ce n’était pas assez, encore une fois, on me renvoyait que j’essayais de faire mon intéressante.

Et si on m’avait juste dit à l’époque “tu es bien comme tu es”, peut-être que je n’aurais pas été si rebelle, à toujours vouloir en faire des tonnes juste pour qu’on la voie.

Et puis, au collège et au lycée, ce sentiment de décalage m’a suivie*,* je ne faisais clairement pas partie des filles populaires, trop cérébrale, trop sensible, trop « je sais pas quoi ». Pas bien dans ma peau. Et ça se voyait.

Alors, j’ai continué à redoubler d’efforts et de provocations, pour exister aux yeux des autres, en espérant trouver enfin ce que je veux être.

Pas par souffrance, non, mais comme si la vie me disait : « chiche que t’es capable de faire ça ? » Et moi, je répondais : « regarde-moi bien. »

J’ai cherché à prouver une grande partie de ma vie, que je valais la peine.

J’ai longtemps espéré la reconnaissance de ma mère. Et avec le recul, je me rends compte aussi que j’avais des choses à me prouver à moi-même. Sans doute car je portais un lourd fardeau depuis l’enfance. Quand j’avais une dizaine d’année, j’ai subi des attouchements par un jeune homme qui en avait 18 à l’époque.

Ce n’est qu’en 2021 que ce souvenir et toutes les émotions qu’il a engendré sont remontés à la surface. Comme ça, sans crier gare. Ça m’a bousculée au plus profond de moi-même, un véritable cataclysme: colère, tristesse, honte, incompréhension…

30 ans de silence qui hurlent d’un coup.

Je ne l’ai pas compris tout de suite mais ce souvenir douloureux, allait être un tournant. Comme une autorisation à être et exprimer enfin qui j’étais vraiment, en ignorant ce que les autres voulaient que je sois. Fraîchement séparée, du père de 3 de mes enfants, je vivais un moment fort de ma carrière professionnelle.

J’étais directrice commerciale, surement une de mes plus belles histoires professionnelles, je fédérais les équipes, j’animais et surtout j’accompagnais des femmes à grandir, à se révéler, à utiliser leur plein potentiel et à accepter leurs forces et leur faiblesses.

Mais voilà, ma vision du management et ma façon de mettre l’humain au cœur de toutes mes actions, n’étaient plus en adéquation avec les décisions de la société. Je me sentais désalignée, plus à ma place.

J’ai ressenti un profond sentiment d’injustice. Je devais partir alors que j’adorais mon métier et que j’excellais, mais les conditions dans lesquelles je l’ exerçais m’étouffaient et s’éloignaient des valeurs qui me sont chères. Alors, j’ai pris une décision difficile : je suis partie.

Je me souviens de la colère que je ressentais d’être obligée de partir pour rester fidèle à moi-même. Mais cette colère-là, elle ne m’a pas détruite. Elle m’a servie.

Et cette envie d’accompagner d’autres femmes, autrement, a refais surface, petit à petit.

Durant mes 25 années de vie professionnelle, j’avais toujours accompagné d’autres femmes à se révéler, se surpasser, à croire en elle, à se sentir capable. Au début, je le faisais presqu’instinctivement maintenant je le fais consciemment.

J’ai ce besoin presque viscérale d’aider mais pas pour sauver, pour “faire grandir” et accompagner dans la transformation.

J’ai entendu un jour cette phrase : “Tu ne peux pas priver le monde de qui tu es vraiment”

Elle m’a transpercée, parce que pendant trop longtemps, je ne me suis pas permise d’être vraiment moi.

Aujourd’hui, je ne veux plus qu’aucune femme se sente « trop », « pas assez », ou « de travers ».

Je veux qu’elle ose briller, avec ses failles, ses forces, sa voix, son histoire. Je veux l’aider à s’aimer comme on apprend à aimer une amie fidèle : avec tendresse, exigence, et sincérité

Loin des injonctions à être parfaite et lisse, loin des phrases toutes faites des gourous du développement personnel, juste un accompagnement vrai, en profondeur, juste pour être soi-même.

Comme je le dis souvent à mes clientes, “Vous avez tout intérêt à vous aimez, car vous êtes la seule personne avec qui vous allez vivre toute votre vie”


“j’ai compris une chose essentielle : je ne suis pas faite pour rentrer dans un moule.

Evoto

Boxe

Le sport m’aide à me dépasser, à me dépenser et à me sentir forte un peu plus chaque jour

Gospel

Le chant me permet de m’épanouir et de vibrer dans le partage de vibrations incroyables

Lecture

La lecture m’ouvre l’esprit au monde, aux autres, et nourrit mon insatiable soif d’apprendre

Marche

La marche m’invite à l’introspection, c’est aussi un moment pour moi, dans la nature

L’hypnose, un outil puissant par ses résultats, et doux par sa pratique.

L’hypnose n’impose rien. Elle invite.
Elle ne force pas. Elle ouvre.
C’est un outil à la fois puissant et respectueux, qui permet des transformations réelles, en douceur, au rythme de chacune.

J’accompagne exclusivement les femmes, dès l’adolescence.
Parce que je crois profondément que nous avons besoin d’espaces à nous. Des espaces où déposer, souffler, transformer.

La solidarité, l’entraide, la sororité…
Pour moi, ce ne sont pas de jolis mots. Ce sont des piliers. Des engagements. Des combats. Je veux offrir aux femmes un temps pour elles, un espace pour se retrouver, à l’abri des regards, des jugements et des injonctions.

  • Pour reconquérir l’estime de soi
  • Pour se libérer d’un poids
  • Pour se réconcilier avec leur corps
  • Pour gagner en confiance

Et un jour la tâche est trop lourde trop épuisante ,un déclic ,un ressenti, une intime conviction vous bouscule ! (…) vous Osez! vous rencontrez une écoute sans jugements, vous vous livrez naturellement ,vous vous allégez, vous vous libérez, vous vous acceptez !(…)
J’ai 68 ans cette année…(il est toujours assez tôt ou jamais trop tard)
Merci à Moi! d’avoir franchi le Pas
Merci à Valérie d’avoir été et d’être là

Josette G.

J’ai 18 ans. J’ai des examens importants, des auditions et je fais des blocages. La séance d’hypnose était super: j’ai eu le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie dès le soir. Pour la 1ere épreuve, je
n’ai eu aucun blocage.
Merci beaucoup à Valérie Belot pour
son accompagnement

Jeanne M.

Première séance d’hypnose avec Valérie Belot. Elle a su me mettre en confiance. Elle est apaisante et rassurante.

Jeannine P.